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le gouvernement promet une campagne massive de tests salivaires dans les écoles, les syndicats sont dubitatifs

le gouvernement promet une campagne massive de tests salivaires dans les écoles, les syndicats sont dubitatifs

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le gouvernement promet une campagne massive de tests salivaires dans les écoles, les syndicats sont dubitatifs

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C’est la rentrée pour les élèves de la région parisienne et d’Occitanie. Pour tenter de rassurer parents et professeurs, le gouvernement mise beaucoup sur les tests salivaires. Une nouveauté, pratique pour les plus petits : un simple crachat est nécessaire au lieu de l’écouvillon dans le nez.
À la tête du principal syndicat d’infirmières scolaires, le Snics-FSU, Saphia Guereschi ne croit plus aux promesses chiffrées après son expérience des tests antigéniques ces derniers mois : « Quand on proposait 100 tests, il y avait 10 tests qui était réalisés parce que c’était un dispositif qui était mis en place à l’aveugle. On n’allait pas là où il y avait vraiment besoin. Les élèves n’avaient pas forcément le désir de se tester. »
>> Tests salivaires : le syndicat SNUipp-FSU appelle les enseignants « à ne pas se substituer aux personnels de laboratoire ou aux personnels soignants »
La campagne de dépistage a démarré timidement en zone A depuis plusieurs jours. La priorité est donnée aux écoles primaires, où on avait le plus de mal avec les tests dans le nez. Désormais, il suffira de cracher dans un gobelet ou avec une pipette pour les maternelles. Mais la campagne doit rééllement commencer cette semaine.
L’exécutif promet des dépistages massifs. « Il y aura rapidement 300 000 tests salivaires par semaine à l’école », selon Jean Castex. L’objectif a été réévalué à la hausse puisque l’Éducation nationale avait d’abord annoncé 200 000 tests hebdomadaires d’ici la mi-mars.

L’arrivée des tests salivaires va-t-elle tout changer ? Pour le ministère de l’Éducation, la facilité du prélèvement permet un déploiement plus large, mieux accepté et un meilleur suivi de l’épidémie de Covid-19 en milieu scolaire. Plusieurs campagnes successives seront menées dans les écoles choisies, tous les 15 jours par exemple. 
Mais la procédure est assez lourde, ce qui rend les syndicats dubitatifs. Les établissements doivent recueillir l’accord des parents, puis se coordonner avec un laboratoire de biologie, lui envoyer à l’avance les noms des enfants. Le jour du test, le laboratoire dépêche un personnel dans l’école, mais qui s’occupe concrètement des prélèvements ? Le seul laborantin ou aussi les personnels de l’Éducation nationale ? C’était encore flou lors des expérimentations de la semaine dernière.
Ensuite, les résultats doivent tomber sous 24 heures, et là il y a une autre difficulté : l’école ne connaîtra que le nombre de cas positifs, pas les noms des enfants concernés. Elle devra toujours compter sur les familles pour le savoir.

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